Mise en scène : Zacharie Saal
Musiques : Martin Pauvert
Paroles : Antoine Lambert
Collaboration artistique : Nicolas Lumbreras
30 octobre 1994. Une veille de Thanksgiving comme les autres ? Non. Godzilla débarque à New-York. Jerry, expert en biologie macromoléculaire spécialisé en créatures sous-marines surdimensionnées, réussira-t-il à communiquer avec la bête et à sauver le monde ? Est-ce qu’on va tous crever ? Combien de temps de cuisson pour une bonne dinde ? Et surtout…Pourquoi bémol ?
Zacharie est comédien, chanteur, et improvisateur. Il s’est formé en Angleterre (à la Birmingham School of Acting) et montera peut-être MacBeth un jour… Mais comme il est fan des « Y’a-t-il un flic/pilote… », et qu’il rêverait d’être Ben Stiller… Il a préféré, pour sa première mise en scène, monter Godzilla Bémol la catastrophe musicale. Et ça le met en joie.
Bonjour.
J’adore l’humour. J’ai toujours été passionné par les comédies musicales, et par les blagues. Et il y a souvent trop de musique et pas assez de comédie dans les comédies musicales. Donc, avec des camarades, nous avons écrit une comédie musicale avec des blagues. Plein de blagues ? Oui. Trop de blagues ? Peut-être. Non. Si. Non. Si. Non. Si. Arrête. Ok.
Avec Godzilla bémol, nous souhaitons faire une pièce parodique qui rend hommage à la fois aux comédies musicales et aux films catastrophe des années 90, avec une ligne directrice très claire : mettons toute notre énergie, notre sérieux et notre détermination à créer un concentré d’idiotie. Des paroles des chansons aux personnages, en passant par l’histoire même de notre pièce, tout doit être joyeusement stupide. Et si les spectateurs-trices parviennent à déceler le message écologique en filigrane, c’est jackpot ! Cordialement.